Publicada em: 24/11/2006 às 09:22 |
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Pequeno diálogo com Greemberg sobre a extensão dos limites semânticos (críticos) do conceito de arte
Palavras-chave
Ce petit essai discute un aspect de l’ancienne pratique de l’art en Occident (la composition naturaliste ou figurative) confrontée à sa représentation symbolique. En d’autres mots, la forme entendue ou expliquée par l’art en tant qu’artéfact littéraire. Nous cherchons à identifier comment représentation intuitive du monde réel agit et se constitue comme une sorte de convention ou habitus. Nous essayerons de définir de façon plus précise comment dans le cours de l’histoire de l’art l’autorité de l’image naturaliste par la représentation perspectique du modèle naturel s’est légitimée. Nous voudrions également confirmer que le regard de l’observateur face à la similitude n’est pas celui de l’admiration ni celui de l’épouvante, mais plutôt une posture rationnelle et scientifique, une forme culturelle. D’autre part, nous cherchons à démontrer comment deux conventions culturelles se confrontent, opposant l’œuvre et l’approuvant comme pratique légitime dans le champ de l’art. Le débat portant sur quelles représentations seraient les plus vraies, serait un pseudo problème quand il s’agit d’établir quelle serait la prééminence entre l’artiste et la critique. Ces deux conventions, l’une caractérisant l’objet de l’art en tant que réponse aux critères spécifiques et traditionnels de l’art ; et l’autre cherchant à démontrer ces critères en élargissant le champ de l’art et circonscrivant une investigation du genre pictographique comme phénomène particulier de la représentation en général et plus spécialement en ce qui se réfère à la perception de la nature dans l’Age Moderne. Mots-clés
Pequeno diálogo com Greemberg sobre a extensão dos limites semânticos (críticos) do conceito de arte |
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